La reconnaissance de nos propres privilèges amène une croissance personnelle et une transformation des expériences de vie. Selon Latino (2010), la prise de conscience peut notamment s’effectuer à travers quatre phases de développement. Au cours des deux premières phases, les personnes justifient leurs privilèges ou ignorent leurs privilèges. Dans la 3e phase, elles réfléchissent sur la façon de déconstruire leurs privilèges et au cours de la 4e phase, les personnes parviennent à démanteler leurs privilèges dans leur milieu afin de réellement vivre l’inclusion.
Livre : Biais inconscients et comportements inclusifs dans les organisations, p.89-90.
Source : Latino, N. M. (2010). Unmasking Whiteness: A Framework for Understanding Inclusive Leadership at a Predominately White Institution Electronic Theses and Dissertations. 354.
Ressources pour innover
Le deuxième chapitre (p. 85 à 130) du livre collectif dirigé par Sophie Brière Biais inconscients et comportements inclusifs dans les organisations aux presses de l’Université Laval vise à présenter différents comportements inclusifs et outils d’observation et de réflexion en cohérence avec la typologie sur les biais inconscients. Ainsi, trois types de comportements sont présentés dans cette partie, soient ceux liés à la personne, aux groupes d’appartenance et aux groupes historiquement marginalisés. Cette partie propose aussi, à partir d’éléments issus de la théorie sur les changements de comportements et celle portant sur l’inclusion, des pistes d’action pour amorcer le développement de comportements inclusifs.
Cette liste des privilèges est tirée de la boîte à outils : Une approche intersectionnelle de la lutte aux violences sexuelles du programme de formation "Une pour toutes et toutes pour ELLES!" portant sur l'approche féministe intersectionnelle en matière d'agressions sexuelles du Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS). Sous forme de questions portant à réflexion, les privilèges masculins, blancs, entendants, de classe et hétérosexuels sont abordés.
Le secteur collégial est tenu d’adopter une politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIÉA). Chaque collège est ainsi tenu responsable d’évaluer de façon juste et équitable les apprentissages de ses étudiant-es.
Le secteur collégial est tenu d’adopter une politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIÉA). Chaque collège est ainsi tenu responsable d’évaluer de façon juste et équitable les apprentissages de ses étudiant-es.
Le secteur collégial est tenu d’adopter une politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIÉA). Chaque collège est ainsi tenu responsable d’évaluer de façon juste et équitable les apprentissages de ses étudiant-es.
Le secteur collégial est tenu d’adopter une politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIÉA). Chaque collège est ainsi tenu responsable d’évaluer de façon juste et équitable les apprentissages de ses étudiant-es.
Le secteur collégial est tenu d’adopter une politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIÉA). Chaque collège est ainsi tenu responsable d’évaluer de façon juste et équitable les apprentissages de ses étudiant-es.
Le secteur collégial est tenu d’adopter une politique institutionnelle d’évaluation des apprentissages (PIÉA). Chaque collège est ainsi tenu responsable d’évaluer de façon juste et équitable les apprentissages de ses étudiant-es.